lundi 16 avril 2012

Simulation de l'univers observable...

Tout est dans le titre, je suis tombé sur un article intéressant qui parle de la première simulation complète de l'univers observable, mais voici le lien pour vous en faire une idée ^_^
(avec une petite vidéo)

DEUS, la première simulation complète de l'univers observable

 

 

 

vendredi 6 avril 2012

2éme au concours de poésie ! ^^

Et oui, j'ai terminé 2éme au concours de poésie qui avait pour thème les œuvres du peintre Texier. J'ai écrits un poème sur un de ses tableaux représentant une scène nocturne de la rue du temple à Paris, scène montrant un bar sous l'éclairage de lampadaires. J'aurais du gagner une peinture mais n'étant pas venu à la remise des prix j'ai récolté à la place un livre, un diplôme et un abonnement de 6 mois au journal local.
J'ai mis l'accent dans ce poème sur l'aspect chaleureux et réconfortant qui se dégageait de cette peinture, je ne puis hélas pas vous présenter d'image de cette dernière pour des raisons de droits mais je puis néanmoins vous poster une photo trouvée sur le net du même genre de peinture de ce peintre.


Quant à mon poème le voici :


Chatoiement parisien


Quittant la sombre torpeur de ma chambrée,
Errant vile ombre au cœur si las, blessé,
Flânant dans l'onde d'aigreur d'un glas passé,
Je sens l'immonde douleur d'un choix raté,

Puis dans la rue du temple le destin me guidant,
Fuis sang vaincu et rampe car enfin m'égayant,
Farandoles lumineuses et globes chatoyants,
Lucioles chaleureuses et orbes flamboyants,

Oh bars saturés aux breuvages enivrants,
Oh foires animées aux visages rayonnants,
Dans une douce tiédeur s'enflamment les voix, les cœurs,
Prés d'une mousse liqueur nos âmes se noient d'ardeurs,

Oasis de gaieté et d'enfiévrés débats,
Édifices d'esseulés et de fieffés ptits gars,
Parsèment la capitale d’ilots ardents,
De suprêmes escales d'altos enfants,

Dans ces chatoiements mon âme rassérénée,
Prise d'enchantements, de larmes séchées,
Doux pèlerinage aux lueurs enchantées,
Divin bandage d'un fier cœur mutilé,

Quittant ce paradis ces dehors consolants,
Diamants de Paris ces décors nitescents,
Retournant chez moi du beau plein la tête,
Et peignant d'émoi ce tableau de maître.


        Christophe BOURBON ^_^