lundi 13 juin 2011

Petites réflexions... temporelles

Bon, auparavant je préfère m'excuser de toutes les âneries que je pourrais dire mais je dois bien avouer que les quelques lignes qui suivent ne sont que pures spéculations et hypothèses sans réels fondements scientifiques, et que, de plus, j'ai "perdu" une bonne partie de mon cerveau depuis que je suis rentré en Gendarmerie. Ceci étant dit voici donc l'idée à laquelle j'ai songé :
Dans un de mes prochains bouquins (celui de SF) je mets en avance une nouvelle physique que j'ai nommé physique dimensionnelle, celle-ci est à la mécanique quantique ce que la mécanique quantique est à la mécanique relativiste. Dans cette nouvelle physique se trouve une branche que l'on appelle la métaphysique temporelle, comme son nom l'indique celle-ci met en exergue tout ce qui à trait à la dimension temps.
Nous savons depuis Einstein que le temps n'est pas "absolu" mais qu'il varie suivant la vitesse à laquelle on se déplace, et surtout, suivant la gravitation : à partir de là ne pourrait on émettre le postulat suivant que le temps ne serait qu'un champ uniforme dépendant de certaines variables comme celle de la gravitation ? Certaines des équations de Maxwell (et que personne ne songe à l'ancienne pub du café soluble !) ne pourraient elles pas servir de modèle aux bases de cette métaphysique temporelle ? (Ces équations à la base de l'électromagnétisme et que l'on apprend durant les premières années de faculté définissent le comportement des champs électrostatiques et magnétiques).



Ainsi, l'équation de conservation du flux magnétique pourrait très bien être transposée à un champ temporel : div.T=0 (div = divergence = ∆. = ∂/ ∂x i + ∂/ ∂y j + ∂/ ∂z k )(en fait le delta est retourné et ce sont des vecteurs donc flèches dessus) puisque le temps est à distribution uniforme. Après, il est tout à fait possible d'imaginer une relation entre le vecteur temps et le vecteur gravitation, mais ne comptez pas sur moi pour vous écrire un truc du style : rot.G=∆xG= -(1/c)∂T/∂i ou quelque chose du genre... J'avais déjà émis une précédente hypothèse sur une nature "ondulatoire" du temps qui s'écoule, je dis "ondulatoire" car j'avais précisé dans cette théorie (tout à fait gratuite je tiens à le préciser) que le déroulement d'un évènement pourrait très bien être précédé d'une post-onde temporelle indiquant ce qui doit avoir lieu (ce qui expliquerait pourquoi on peut parfois "sentir" que le téléphone va sonner juste avant que cela ne se produise, que l'on se réveille une fraction de seconde avant que le réveil sonne etc...).
Voilà, enfin à creuser tout ça (ou à rejeter mais après tout, quelle importance puisque on peut trés bien considérer ces questions d'un point de vue philosophique : ce qui me fait penser à Jankélévitch qui disait que l'irréversibilité est ce que chacun éprouve du temps, le pauvre se retournerait dans sa tombe avec ma seconde hypothèse et son corollaire lol)

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